Abstract
The role of cells in immunity to pulmonary infection with Coccidioides immitis was studied in mice vaccinated with formalin-killed spherules and endospores and infected intranasally with arthrospores. Postinfection changes in lung and body wt., lung histology, and numbers of inflammatory cells obtained by tracheobronchial washing commenced more rapidly in vaccinated mice than in nonvaccinated controls. However, once begun, the changes were greater in the latter animals. In tracheobronchial washings made 12 hr. after infection, the percentage of alveolar macrophages with intracellular arthrospores was the same in both groups of animals. But after 24 hr. a much smaller percentage of macrophages had intracellular spherules in the washings from vaccinated mice than in those from controls. It is postulated that macrophages of vaccinated mice ingest arthrospores in vivo at the same rate as macrophages of control animals, but are better able to prevent the intracellular spores from developing into spherules. Le rôle des cellules dans l'immunit7'e contre l'infection pulmonaire par Coccidioides immitis a été étudié chez des souris vaccinées au moyen de sphérules et d'endospores tuées par de la formaline et infectées par le nez avec des arthrospores. Les changements dans le poids des poumons et du corps, dans la structure histologique des poumons et le nombre de cellules inflammatoires obtenues par lavage trachéobronchial apparaissent plus rapidement chez les souris vaccinées que chez les contrôles. Cependant, après leus apparition les changements s'amplifient chez ces derniers. Au cours de lavages trachéobronchiaux effectués 12 heures après infection, le pourcentage de macrophages alvéolaires montrant des arthrospores intracellulaires était identique parmi les deux groupes d'animaux. Mais après 24 heures, un beaucoup plus faible pourcentage de macrophages montraient des sphérules intra-cellulaires dans le produit de lavages trachéobronchiaux des souris vaccinées que dans celle de contrôle. On postule que les macrophages des souris vaccinées phagocytent les arthrospores in vivo à la même vitesse que les macrophages des animaux de contrôle, mais sont plus aptes à empêcher les spores intracellulaires à former des sphérules.