Abstract
Speech and language therapists are increasingly being asked to treat dysphagic patients. Concern has been expressed and surveys have confirmed that radiological assessment procedures are rarely available. Consequently, patients must often be assessed and their treatment planned on the basis of bedside examinations. Despite evidence that swallowing disorders need not be related to problems of articulation, recommendations on the procedure of such examinations frequently include an evaluation of speech and non‐speech articulatory movements. A study is reported of patients who exhibit both dysphagia and dysarthria as a result of either stroke or Parkinson's disease. Assessments of the intelligibility of their speech and of their swallowing problems were found to be unrelated. The implications of this finding for the assessment of dysphagia are discussed. Il est de plus en plus fréquent qu'on demande aux orthophonistes de traiter des sujets souffrant de dysphagie. Ceci n'a pas manqué de soulever des inquiétudes, et les enquětes ont prouvé que le diagnostic radiologique est rarement disponible. Le résultat est que c'est sur la base d'examens pratiqués au pied du lit qu'il faut faire les diagnostics et établir le cours des traitements. Bien qu'il se confirme que les troubles de la déglutition ne sont pas nécessairement liés aux problèmes d'articulation, les recommandations sur la marche à suivre lors de ces examens comprennent souvent une évaluation des mouvements articulatoires, qu'ils soient linguistiques ou non. L'on rend compte ici d'une étude de sujets souffrant à la fois de dysphagie et de dysarthrie, par suite soit d'une attaque soit de la maladie de Parkinson. L'examen de l'intelligibilité de leur langage et de leurs difficultés de déglutition montre que ces deux phénomènes sont sans rapport. Suit une discussion des conséquences de ce résultat du point de vue de l'évaluation de la dysphagie. Sprachtherapeuten werden zunehmend gebeten, dysphagische Patienten zu behandeln. Die Sorge kommt häufig zum Ausdruck, und es wird häufig in Berichten bestätigt, daß radiologische Untersuchungsverfahren selten zur Verfügung stehen. Folglich müssen oft aufgrund von Krankenzimmeruntersuchungen Patienten eingestuft und ihre Behandlung festeglegt werden. Trotz der Hinweise, daß Schluckbeschwerden nicht notwendigerweise mit Artikulationsproblemen einhergehen, enthalten die Empfehlungen für solche Untersuchungsverfahren häufig eine Bewertung von sowohl sprachlichen als auch nichtsprachlichen Artikulationsbewegungen. Ergebnisse einer Untersuchung an Schlaganfall‐ und Parkinsonpatienten werden berichtet, die sowohl dysphagische als auch dysarthrische Erscheinungen aufweisen. Die Einstufungen ihrer Sprachverständlichkeit und ihrer Schluckprobleme standen in keiner Relation zueinander. Die Implikationen dieses Ergebnisses für die Dysphagiediagnose werden erörtert.
Keywords

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