Abstract
Dans une étude précédente sur les ondes de brillance en électrophotoluminescence, on observait des décalages anormaux si les électrodes étaient insuffisamment conductrices; pour obvier à cet inconvénient il avait été nécessaire de recourir à des électrodes liquides de conductibilité élevée. L'auteur étend aux électrodes circulaires l'étude théorique des pellicules faiblement conductrices, problème qu'il avait traité dans cette revue dans le cas d'une propagation linéaire. Il montre qu'on peut avoir ici des décalages importants entre la tension au centre et la tension à la périphérie, bien que la chute de tension soit insignifiante. L'expérience confirme les prévisions du calcul

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