Abstract
The activity of the shot‐hole borer in gallery construction depends on a number of factors which include the thickness of wood, the type of tea plant, and the presence or absence of bark. In the experiments described in this paper, the influence of each of these factors has been assessed, and analysed statistically. The host plant‐pest relationships of the shot‐hole borer are discussed based on the above findings and the available literature. A method of rapid clonal testing for borer resistance and/or tolerance which could be carried out conveniently under laboratory conditions is outlined.Résumé: RELATIONS PLANTE HÔTE‐INSECTES CHEZ XYLEBORUS FORNICATUS (THE SHOT‐HOLE BORER OF TEA), COLEOPTERA, SCOLYTIDAEXyleborus fornicatus préfère les nœuds des branches du théier pour installer ses galeries: 77,7% et 74,4% de l'ensemble des galeries sont respectivement trouvées dans les nœuds en conditions de laboratoire et en conditions naturelles, qu'il s'agisse de plants issus de graines ou résultant d'une multiplication végétative.Le diamètre moyen préférentiel de la branche pour I'installation des galeries est de 10,3 ± 0,3 cm et 10,2 ± 1,1 cm, respectivement en conditions naturelles et en conditions expérimentales. Le bois jeune est préféré au bois âgé (73,4% des galeries dans le bois jeune dans une épreuve de choix). Xyleborus préfère également les rameaux avec écorce aux rameaux sans écorce (75,6% en faveur des premiers). Ces résultats sont les mânes pour différents clônes.La technique utilisée dans ces expériences pourrait être utilisée pour tester rapidement en laboratoire la tolérance ou la résistance de certains clônes aux attaques de X. fornicatus. Les méthodes utilisées jusqu'ici en plein champ sur pépinières nécessitent plus de deux ans avant d'obtenir des résultats.Les relations de la plante‐hôte et de X. fornicatus sont discuTÉes à la lumière des donnécs acquises en ce domaine pour d'autres Scolytides en diverscs régions du monde. II est suggéré que la recherche de l'hôte et l'installation des galeries par X. fornicatus est basé sur des réactions du type chimioclinotaxies. D'autres recherches doivent être entreprises en ce qui concerne les effets de la teneur en eau du bois sur la sélection de l'hôte et sur la survie des larves.