Epizootic occurrence of haemorrhagic nephritis enteritis virus infection of geese

Abstract
Recent outbreaks of haemorrhagic nephritis enteritis in geese flocks of 3 to 10 weeks in age in Hungary were investigated. Mortality varied between 4% and 67%. Affected birds generally died suddenly. Occasional clinical signs included tremors of the head and neck, subcutaneous haemorrhages and excretion of faeces containing partly digested blood. At necropsy the most frequent findings were a turgid wall and reddish mucosa of the intestines and reddish discolouration of the swollen kidneys, but oedema and haemorrhages of the subcutaneous connective tissue, hydropericardium and ascites were also seen. In subacute cases, visceral gout was frequently observed. Histological examination revealed zonal necrosis of the tubular epithelial cells with haemorrhages in the kidney. Other histological findings were serous hepatitis with fatty infiltration, necrotizing haemorrhagic enteritis and haemorrhages in the different organs including the brain. Experimental geese infected parenterally with crude liver and spleen homogenates prepared from diseased birds died after 8 to 20 days without premonitory signs, and had typical gross and histological lesions. Attemps to isolate cytopathic virus on different tissue cultures failed. The presence of polyomavirus was proven by polymerase chain reaction. Five isolates were further investigated by analysing their complete VP1 gene sequence. All tested strains were very closely related to each other on the basis of the nucleotide sequence, and they were identical at the deduced amino acid level. Résumé Apparition épizootique de l'infection virale de l'entérite néphrite hémorragique de l'oie En Hongrie, il a été étudié des cas récents d'entérite néphrite hémorragique chez des oies âgées de 3 à 10 semaines. La mortalité variait de 4 à 67%. D'une façon générale, les animaux affectés mouraient subitement. Les symptômes observés occasionnellement comprenaient des tremblements de la tête et du cou, des hémorragies sous cutanées et l'excrétion de fèces contenant du sang en partie digéré. A l'autopsie, les lésions les plus fréquentes ont été observées au niveau des parois de la muqueuse intestinale qui étaient turgescentes et rougeâtres et des reins qui étaient gonflés. Par ailleurs, il a également été mis en évidence de l'œdème et des hémorragies du tissu conjonctif sous cutané, un hydropéricarde et de l'ascite. Dans les cas subaigus, de la goutte viscérale a souvent été notée. L'examen histologique a révélé des hémorragies des reins et une nécrose zonale des cellules épithéliales tubulaires. Il a également été mis en évidence une hépatite sévère avec des infiltrations graisseuses, une entérite hémorragique nécrosante et des hémorragies de différents organes dont le cerveau. Les oies infectées expérimentalement par voie parentérale avec des broyats de foie et de rate, préparés à partir d'animaux malades, sont mortes dans les 8 à 20 jours sans symptômes prémonitoires et avaient des lésions macroscopiques et microscopiques typiques. Les essais d'isolement de virus cytopathogène sur différents types de cultures n'ont pas été couronnés de succès. La présence de polyomavirus a été mise en évidence par PCR. Cinq isolats ont fait l'objet d'étude complémentaire par l'analyse complète du gène VP1. Toutes les souches testées étaient très proches les unes des autres sur la base de la séquence nucléotidique et étaient identiques au niveau de la séquence déduite d'acides aminés. Zusammenfassung Epizootisches Auftreten der Infektion mit dem hämorrhagischen Nephritis-Enteritis-Virus in Gänsen Die vor kurzem in Ungarn aufgetretenen Ausbrüche von hämorrhagischer Nephritis-Enteritis in 3–10 Wochen alten Gänseherden wurden untersucht. Die Mortalität variierte zwischen 4 und 67%. Meist starben betroffene Tiere plötzlich. Gelegentlich traten Zittern des Kopfes und des Halses, subkutane Blutungen und Exkretion von Fäzes mit teilweise verdautem Blut auf. Bei der Sektion waren die häufigsten Befunde eine geschwollene Darmwand und eine gerötete Darmschleimhaut sowie eine rötliche Verfärbung der geschwollenen Nieren. Auch wurden auch Ödeme und Hämorrhagien im subkutanen Bindegewebe, Hydroperikard und Aszitis festgestellt. Bei subakuten Verläufen wurde des öfteren Viszeralgicht beobachtet. Die histologische Untersuchung ließ in den Nieren herdförmige Nekrosen der tubulären Epithelzellen verbunden mit Hämorrhagien erkennen. Weitere histologische Befunde waren hochgradige Hepatitis mit fettiger Infiltration, nekrotisierende hämorrhagische Enteritis sowie Blutungen in verschiedenen Organen einschließlich Hirn. Gänse, die experimentell parenteral mit nativen Leber- und Milzhomogenaten von erkrankten Tieren infiziert wurden, starben innerhalb von 8–20 Tagen ohne vorhergehende Symptome, und wiesen typische pathologische und histopathologische Läsionen auf. Versuche, in verschiedenen Gewebekulturen zytopathisches Virus zu isolieren, schlugen fehl. Die Anwesenheit von Polyomavirus wurde mittels PCR nachgewiesen. Fünf Isolate wurden durch Analyse ihrer kompletten VP1-Gensequenz weiter untersucht. Alle untersuchten Stämme waren...