Abstract
Avec un spectrographe infrarouge à réseau, nous avons étudié, entre 0,8 et 1,9 μ environ, les spectres d'absorption, à l'état liquide, de dix hydrocarbures aliphatiques saturés. La liaison carbone-hydrogène se manifeste par des séries (perturbées ou non perturbées) de bandes d'absorption — attribuables en première approximation aux groupements CH, CH2, ou CH3 — entre lesquelles se mesurent des maxima beaucoup moins intenses, explicables par des combinaisons de fréquences. Celles-ci permettent, par l'étude seule du proche infrarouge, d'obtenir les nombres d'ondes d'oscillations fondamentales, qui se placent dans la partie du spectre possédant de beaucoup plus grandes longueurs d'onde

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