Abstract
Tenant compte des données de la littérature classique ainsi que d'informations plus récentes, l'auteur fait état des limites qui demeurent dans la connaissance des Ceratocystis européens des chênes et de leur intervention éventuelle en tant que pathogènes dans les phénomènes de dépérissement. Certaines de ces interrogations, sans réponse depuis de nombreuses années, devraient faire l'objet de recherches concertées au niveau européen.