La dissection des tissus étant pratiquement impossible chez les végétaux, les auteurs classiques ont dû avoir recours à la méthode des coupes en série et à celle des squelettes de rouissage qui n'ont pu donner que des renseignements parcellaires ou incomplets. La méthode décrite permet l'étude in situ des cellules ou du moins des membranes de celles-ci sur des végétaux rendus transparents après colorations électives. Elle permet d'observer les relations anatomiqnes les plus étroites des cellules végétales, ce qui n'a jusqu'ici que trop peu souvent été fait.