Abstract
Approximately 25%–30% of all patients with non-small cell lung cancer (NSCLC) present with stage III tumors. Except for specific subsets, these tumors are not usually amenable to complete surgical resection and are associated with a 5-year survival of 10% or less. Because patients with stage III NSCLC die of distant metastases, recent efforts to improve the prognosis of these tumors have focused on neoadjuvant therapy using chemotherapy or chemoradiotherapy as induction treatment and subsequent surgical resection for local control. Many trials have now shown the feasibility of neoadjuvant therapy and suggest that overall survival is approximately double that seen after surgical resection or radiation alone. Future clinical trials will define whether surgical resection after induction therapy provides better local control and survival than chemotherapy and high-dose radiation alone. Environ 25–30% de tous les patients ayant un cancer autre qu'à petites cellules du poumon (non-small cell lung cancer ou «NSCLC») se présentent au stade III de leur maladie. Exceptés des sous-groupes spécifiques, ces tumeurs ne sont généralement pas traitables par la résection chirurgical complète et leur survie à 5 ans est de 10% ou moins. Parce que les patients des stades III des NSCLC meurent habituellement des métastases à distance, des efforts récents pour améliorer le pronostic se sont centrés sur la chimiothérapie néoadjuvante, c'est-à-dire par la chimiothérapie ou la chimioradiothérapie en induction suivie de résection locale. Beaucoup d'essais ont démontré la faisabilité de la thérapie néoadjuvante, et suggèrent que la survie globale est environ la double de celle après résection chirurgicale ou radiothérapie seule. Des essais cliniques futurs sont seuls capables de démontrer si la résection après l'induction thérapeutique par la chimiothérapie adjuvante peut contrôler la maladie et améliorer le pronostic par rapport à la chimiothérapie et la radiothérapie seules. Aproximadamente 25–30% de la totalidad de los pacientes con cáncer pulmonar de células no pequeñas se presentan con tumores en estado III. A excepción de algunos subgrupos específicos, tales tumores usualmente no son susceptibles de resección quirúrgica completa y se asocian con una tasa de sobrevida de 5 años de 10% o menos. Debido a que los pacientes en estado III mueren por metástasis distantes, los esfuerzos recientes encaminados a mejorar el pronóstico se han concentrado en la terapia neoadyuvante utilizando quimioterapia o quimioradioterapia como tratamiento de inducción y resección quirúrgica subsiguiente para el control local de la enfermedad. Muchos ensayos clínicos han demostrado la factibilidad de la terapia neoadyuvante y sugieren que la tasa global de sobrevida es aproximadamente el doble de la que se ve en pacientes sometidos a resección quirúrgica o a irradiación solamente. Los futuros ensayos clínicos deben definir si la resección quirúrgica luego de la terapia de inducción resulta en mejor control local y mejor sobrevida que con la quimioterapia o la irradiación solamente.