Abstract
La sécheresse qui affecte la vallée du Sénégal depuis 1972 a suscité, à partir de 1977, le développement de petits périmètres d'irrigation desservis par des pompes et cultivés en rizières. Le succès de cette formule a provoqué une relance des grands aménagements hydrauliques publics ou privés, de sorte que 35 000 ha sont maintenant irrigués dans la vallée. Ce développement est à l'origine de la construction des deux barrages de Diama et de Manantali, mais la concurrence entre divers modèles d'organisation se réglera sans doute au détriment des petits périmètres.

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