Abstract
Une redétermination du spectre d'absorption du benzène liquide entre 5 et 8 μ, amène à examiner trois bandes fortes ou moyennes, que d'autres auteurs considèrent comme provenant de combinaisons entre deux vibrations fondamentales. Tout en ne rejetant pas cette explication, nous montrons qu'elle n'est pas la seule possible, et que ces trois bandes peuvent également s'attribuer à trois vibrations interdites dans le cas de la molécule de benzène (à cause de sa symétrie élevée), mais permises avec des molécules telles que [FORMULE] (obtenues avec l'isotope C13). On indique, en étudiant le spectre de la pyridine, qui possède exactement les mêmes masses et la même symétrie que les molécules [FORMULE], que l'on trouve, dans notre région, le même nombre de bandes fortes que pour le benzène

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