Abstract
Le temps mort d'un compteur G. M. est mesuré par la méthode des coïncidences retardées. Les impulsions du compteur, qui alimentent le circuit de coïncidence, y parviennent, d'une part, directement et, d'autre part, après un retard connu et variable. Cette méthode permet, de plus, d'étudier les impulsions parasites provenant de l'impact des ions positifs sur la cathode du compteur. Des résultats relatifs à quelques compteurs fonctionnant dans des conditions diverses sont donnés