Abstract
The uptake of 125‐iodide by transplanted hormone‐responsive (HR) or hormone‐independent (HI) mammary tumors, normal mammary tissue and skeletal muscle was compared in GR mice. The uptake of 125‐iodide by HR mammary tumors in mice treated with progesterone and oestrone (P+O) was about 20 times greater than the uptake of 125‐iodide by HI mammary tumors in mice not treated with P+O. This difference in uptake of 125‐iodide by HR and HI mammary tumors could not be attributed to the difference in the hormonal status of the mice since uptake of 125‐iodide was also low in HI tumors in mice receiving P+O treatment. The uptake of 125‐iodide by HR mammary tumors was greatly reduced by the simultaneous injection of either an excess of non‐radioactive iodide or of perchlorate. Uptake of 125‐iodide by normal mammary tissue and skeletal muscle was similar in all groups of tumor‐bearing mice, and was not influenced by the presence of an excess of non‐radioactive iodide or of perchlorate. The possible clinical significance of these findings is discussed. Augmentation De L'incorporation D'iodure Dans Les Tumeurs Mammaires Hormonosensibles Des Souris Gr Par Comparaison Avec Les Tumeurs Hormono‐Indépendantes L'auteur a comparé l'incorporation d'iodure125 dans des tumeurs mammaires hormonosensibles (HS) ou hormono‐indépendantes (HI) transplantées du tissu mammaire normal et des muscles squelettiques de souris GR. Chez les souris traitées à la progestérone et à l'æstrone (P+O), l'incorporation d'iodure125 dans les tumeurs mammaires HS est environ 20 fois plus élevée que dans les tumeurs HI des souris non traitées. Ce phénomène n'est pas imputable à la différence d'état hormonal des souris, puisque l'incorporation est également faible dans les tumeurs HI des souris recevant le traitement P+O. Elle diminue considérablement dans les tumeurs HS après injection simultanée d'un excès d'iodure non radioactif ou de perchlorate. L'incorporation d'iodure125 par le tissu mammaire normal et les muscles squelettiques est analogue dans tous les groupes de souris cancéreuses et n'est pas influencée par la présence d'un excès d'iodure non radioactif ou de perchlorate. L'auteur examine l'intérět clinique que ces constatations pourraient présenter.