Effect of dietary protein on the nitrogen excretion and growth of the African catfish,Clarias gariepinus
- 15 October 1995
- journal article
- Published by EDP Sciences in Aquatic Living Resources
- Vol. 8 (4) , 407-414
- https://doi.org/10.1051/alr:1995048
Abstract
The rates of growth and nitrogen efflux (total nitrogen and ammonia) of individual C. gariepinus ( g; S.D. = 4.8 g) kept under 4 feeding regimens, following a 48 h imposed fast (phase l), were measured periodically. In phase 2 (35 d), groups A, B and C were fed a 49.75%, 45.55% or 41.10% protein diet respectively at a ration of 0.5% body weight (1 d−1) Group D were not fed. In phase 3 (25 d) all groups were fed the 41.10% diet. In phase 1, the ammonia efflux rates were lower than any of the values found in either phase 2 and 3. In phase 2, group A (49.75%) had a higher mean ammonia efflux rates than the other groups and ammonia comprised 60-100% of the total nitrogen efflux in all groups. Group D showed a direct relationship between ammonia efflux rate and length of fast. In phase 3, refeeding with the 41.1% protein diet caused the ammonia efflux rates of groups B and D to converge within 7 days to values no different from those of group C, but group A maintained a significantly higher mean value until day 25. During phase 2, the growth rates in B (45.55%) were greatest, but, none of the among groups differences were significant. Group D fish (unfed) lost approximately 30% of their initial weight during phase 2. Nitrogen efflux rates, notably ammonia, showed a pattern of excretion that was directly related to the protein content of the diet, but that the source of dietary protein, dietary energy and the total available energy also influenced nitrogen metabolism. The small differences in growth found were related to between diet differences in composition. The weight loss in the unfed group of fish was probably attributable to the utilisation of lipid and/or protein reserves as metabolic fuels. Les taux de croissance et d'azote (azote total et ammoniaque) ont été étudiés chez C. gariepinus ( g; S.D. = 4.8 g) élevés avec 4 régimes alimentaires, suivant un jeûne de 48 h (phase 1). En phase 2 (35 jours), les groupes A, B et C ont été nourris respectivement à 49,75 %, 45,55 % ou 41,10 % de protéines avec une ration de 0,5 % du poids vif (1 par jour). Le groupe D n'a pas été nourri. En phase 3 (25 jours) tous les groupes ont été nourris à base du régime protéinique 41,10 %. En phase 1, les taux de rejet d'ammoniaque étaient plus bas que tous ceux observés en phase 2 et 3. En phase 2, le groupe A (49,75 %) avaient une plus haute moyenne de rejet d'ammoniaque que les autres groupes et un taux d'ammoniaque compris entre 60 et 100 % des flux d'azote total dans tous les groupes. Chez le groupe D, il y a une relation directe entre le taux d'ammoniaque et la durée du jeûne. En phase 3, le nourrissage à 41,1 % de protéines provoque des rejets d'ammoniaque sensiblement égaux chez les groupes B et D 7 jours plus tard et similaires au groupe C mais plus important pour le groupe A jusqu'au 25e jour. Durant la phase 2, les taux de croissance du groupe B (45,55 %) étaient les plus élevés mais il n'y avait pas de différence significative entre les groupes. Les poissons du groupe D (non nourris) ont perdu approximativement 30 % de leur poids initial durant la phase 2. Les taux d'azote, d'ammoniaque notamment, sont directement liés à la composition en protéines du régime alimentaire; mais la source de protéines alimentaires en énergie métabolique et l'énergie totale disponible influence aussi le métabolisme azoté. Les petites différences de croissance observées sont liées à la différence de composition des régimes alimentaires, la perte de poids du groupe de poissons non nourri peut être attribuée probablement l'utilisation des réserves en lipides et/ou en protéines comme source d'énergie métabolique.Keywords
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