An evaluation of the anaesthetic techniques used in an outpatient unit

Abstract
Our follow-up of 250 gynaecology patients and 100 dental patients who had received anaesthesia for elective outpatient surgical procedures indicates: The practice of outpatient anaesthesia in proper facilities with proper selection of patients appears to be safe. There is widespread patient acceptance of surgery and anaesthesia on an outpatient basis. Complications are frequent but minor. Many of the complications may be minimized: Adequate depth of anaesthesia preferably with a volatile agent will do away with awareness during operation. Methoxyflurane should be avoided to minimize late arousal. Volatile agents such as enflurane or halothane would seem to be preferable to intravenous agents. Post-fasciculation pain could be minimized by avoiding succinylcholine for short procedures like D & C and using adequate depth instead. For dental procedures requiring tracheal intubation, one could perhaps use non-depolarizing muscle relaxants, like pancuronium, with reversal at the end of the procedure. Nausea, vomiting, dizziness and headache are complications that occur very frequently in all series reported and this is an area where more research is indicated. Les auteurs ont effectué le relevé des complications anesthésiques immédiates et tardives chez des malades non hospitalisés et soumis à une chirurgie élective, ceci dans le but ďévaluer une clinique hospitalière destinée à la chirurgie élective sur base externe. Leur étude a porté sur 250 malades soumises à une chirurgie gynécologique et sur 100 autres patients ayant subi une chirurgie dentaire. On a fait les constatations suivantes: La chirurgie des patients non hospitalisés peut se faire en toute sécurité si la sélection des cas est faite de façon judicieuse. Les malades acceptent très volontiers la chirurgie et ľanesthésie sur base externe. Les complications sont fréquentes mais elles sont ďordre mineur. Ľon peut en éliminer plusieurs avec les précautions suivantes: Une anesthésie suffisamment profonde, préfémblement au moyen ďagents volatiles, pour s’assurer de ľinconscience. Le méthoxyflurane devrait être évité; il allonge le temps ďéveil. Ľhalothane et ľenflurane semblent préférables aux agents intraveineux. Pour minimiser les douleurs post-fasciculations, il vaut mieux maintenir les malades à une profondeur ďanesthésie suffisante, plutôt que ďutiliser de la succinylcholine. Ceci s’applique surtout aux cas de courte durée, comme les curettages utérins. Lorsqu’il est nécessaire ďintuber les malades, par exemple en chirurgie dentaire, on pourrait utiliser un agent non dépolarisant, comme le pancuronium et renverser le bloc en fin ďintervention. Les nausées, vomissements, les étourdissements et les maux de tête sont des complications très fréquentes; de la recherche dans ce domaine nous semble indiquée.