Factors Related to the Occurrence of Typical Paroxysmal Abnormalities in the EEG Records of Epileptic Patients
- 1 December 1970
- Vol. 11 (4) , 361-381
- https://doi.org/10.1111/j.1528-1157.1970.tb03903.x
Abstract
SUMMARY: The incidence of typical paroxysmal (epileptiform) discharges has been determined in 1824 EEG records from 308 patients with a reasonably certain diagnosis of epilepsy (average 6 records/patient). 1055 records were considered positive (i.e., showing epileptiform discharges) and 769 negative (i.e., either normal or with non‐paroxysmal abnormalities). Patients were subsequently subdivided into three main groups: (a) 92 with all + records, (b) 54 with all – records, (c) 162 with mixed, + and – records and various subgroups. The purpose of this study was to analyze a number of factors to determine their possible relationship with positivity and negativity of the records within the various patient groups. Such factors included: age at the time of EEG examination and of seizure onset, etiology, clinical‐EEG diagnosis and localization and clinical classification, background EEG patterns, presence of generalized convulsions, frequency of seizures, time since last seizure, presence of medication or length of time without medication. Positive findings in the first examination were obtained in 55.5% of the patients. About 70% of the patients with mixed tracings had more than half of their records positive. Of 75 patients followed with repeated examinations for at least 1 year, all records remained persistently negative in only less than 8%. The patient's age, both at the time of the examination and at the onset of seizures, is suggestively related to presence or absence of epileptiform discharges. The percentage of positive records is very high in the first decade while negative tracings predominate after the age of 40. When seizures started past the age of 30, the number of patients with all their records negative was three times as great as that of patients with all positive records. Etiological factors do not seem to play a role on the incidence of epileptiform discharges. Seizure patterns, including the occurrence of generalized (grand mal) episodes, and different forms of clinical diagnostic groups were similarly unrelated to positivity or negativity of the records. Only the group of patients with temporal lobe epilepsy would show a significantly larger amount of positive tracings, only 2% of these patients having exclusively negative records. Contingent factors such as (a) proximity of a seizure to the EEG examination, (b) frequency of seizures and (c) medication or lack thereof at the time of the examination, all appeared to be suggestively related to presence or absence of epileptiform discharges in the records. The relationship was in the expected direction for (a) and (b): i.e., the closer the examination to a seizure and/or the higher the seizure frequency, the greater the probability that a record would be positive. On the other hand, the results of the present analysis would not seem to support the common assumption that records obtained while the patient is on medication are less likely to be positive. Possible reasons for these somewhat paradoxical findings were discussed. Additional analyses were also performed in a selected group of patients with emphasis on the dynamic aspects of their records (i.e., “positivization” of a previously negative record and vice versa) as well as of some of these contingent factors. RÉSUMÉ: On a déterminé 'incidence des décharges paroxystiques typiques (épileptiformes) dans 1824 tracés E.E.G. obtenus chez 308 sujets épileptiques (moyenne de 6 tracés par sujet). 1055 tracés ont été considérés comme positifs (c'est‐à‐dire avec des décharges épileptiformes) et 769 ont été considérés comme négatifs (c'est‐à‐dire soit normaux, soit avec des anomalies non paroxystiques). On a distingué 3 groupes de sujets: (a) 92 ayant tous leurs tracés positifs, (b) 54 ayant tous leurs tracés négatifs, (c) 162 avec des tracés mixtes, positifs et négatifs. En outre on a distingué de différents sous‐groupes. Cette étude se proposait 'analyser un certain nombre de facteurs pour déterminer leurs relations possibles avec la positivisté et la négativité des tracés dans les différents groupes de sujets. De tels facteurs incluent 'âge au moment des tracés E.E.G. et 'âge au moment du début des crises, 'étiologie, le diagnostic électroclinique, la localisation ainsi que la classification clinique, les types 'activité de fond E.E.G., la présence de crises généralisées, la fréquence des crises, 'intervalle de temps depuis la dernière crise, la présence 'un traitement ou la durée de temps sans traitement. Lors du premier examen, on a obtenu des données positives chez 55.5% des sujets. Environ 70% des sujets avec des tracés mixtes avaient plus de la moitié des tracés positifs. Parmi les 75 patients suivis avec des tracés répétés pendant au moins 1 an, tous les tracés ont été toujours négatifs seulement dans moins de 8% des cas. 'âge des sujets, soit au moment de 'examen soit au moment du début des crises est très probablement en relation avec la présence ou 'absence de décharges épileptiformes. Le pourcentage des traceas positifs est très élevé dans la première décade de la vie tandis que les tracés négatifs sont plus nombreux après 'âge de 40 ans. Lorsque les crises commençaient après 'âge de 30 ans, les sujets qui avaient leurs tracés négatifs étaient trois fois plus nombreux que les sujets ayant tous leurs tracés positifs. Les facteurs étiologiques ne semblent pas jouer un rôle important dans 'incidence des décharges épileptiformes. Les types de crises, y compris la survenue 'épisodes généralisés (de type grand mal) et les différentes formes cliniques étaient également sans relation avec la positivisté ou la négativité des tracés. Seul le groupe de sujets avec une épilepsie du lobe temporal aurait un nombre significativement plus élevé de tracés positifs, seulement 2% des patients ayant exclusivement des tracés négatifs. Les facteurs contingents tels que (a) un tracé près 'une crise, (b) la fréquence des crises, (c) la présence ou non de traitement au moment de 'examen, apparaissaient en relation avec la présence ou 'absence de décharges épileptiformes dans les tracés. Les relations étaient dans le sens qu'on s'attendait pour (a) et (b), i.e., avec une probabilityé 'avoir un tracé positif 'autant plus grande que 'examen était plus rapproché 'une crise et que la fréquence des crises était plus élevée. 'autre part, les résultats de ce travail ne semblent pas confirmer ce qu'on croit généralement, c'est‐à‐dire que les tracés qu'on obtient lorsque le patient est sous traitement ont moins de chances 'être positifs. On a discuté les raisons possibles de ce résultat un peu paradoxal. On a fait 'autres analyses dans un groupe de patients sélectionnés avec une attention toute particulière pour les aspects dynamiques de leurs tracés (c'est‐à‐dire un changement vers la positivisté 'un tracé qui était précédemment négatif et vice versa) ainsi que pour quelques uns de ces facteurs contingents.Keywords
This publication has 14 references indexed in Scilit:
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