Dans un exposé précédent [2], nous avions présenté l’interprétation des examens effectués à la suite d’une inhalation de composés dits solubles d’uranium naturel telle qu’elle avait été faite en 1965. Cette interprétation se basait sur les données métaboliques connues à cette date et qui avaient fait l’objet d’une étude théorique de synthèse publiée en 1968 [1].Dans le présent exposé, en 1970, les calculs et les bilans individuels sont repris en tenant compte des recommandations de la Commission Internationale de Protection Radiologique de 1968 [6].