Abstract
Some current government and private-sector mapping practices continue the long history of assimilationist policy toward American Indians living in the United States. I use examples of recently mapped Zuni, Hopi, and Cheyenne lands, two of which involve GIS, to demonstrate the roles cultural myths and map technology play in ongoing skirmishes over the meaning of land, language, and religion. A cross-cultural glimpse into Indian ethno-geography is offered as a means to understanding the need for re-thinking the mapping process. Finally, I urge today's cartographic elites to broaden the now-limited ethical debate, and suggest practical methods by which mapping/GIS projects in Indian Country might proceed according to a different ethical standard. Certaines pratiques cartographiques courantes au gouvernement et dans le secteur privé perpétuent la longue histoire de la politique assimilatrice envers les Indiens américains qui vivent aux États-Unis. J'utilise des exemples de terres zuni, hopi et cheyennes récemment cartographiées, dont deux impliquaient des systèmes d'information géographique (SIG), afin de démontrer les rôles que les mythes culturelles et la technologie cartographique jouent dans les escarmouches qui se perpétuent à propos de la signification de terre, langue et religion. On nous offre un aperçu panculturel de l'ethnogéographie indienne comme moyen pour comprendre le besoin de repenser le processus cartographique. Enfin, je presse l'élite cartographique d'aujourd'hui d'élargir le débat d'éthique, limité pour le moment, et je suggère des méthodes pratiques pour que les projets de cartographie et de SIG dans le pays indien puissent se dérouler en suivant une norme d'éthique différente.

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