General and comparative pharmacology of fenfluramine

Abstract
Although structurally related to amphetamine, fenfluramine differs from it quite markedly, both pharmacologically and clinically, and was the first compound in which anorectic activity was shown to be dissociated from a central stimulant effect. Studies are reviewed which indicate that the appetite suppressant activity of fenfluramine involves, at least in part, the central serotoninergic system, and this distinguishes the drug from all other anorectic agents such as amphetamine which can only act if the noradrenergic and perhaps the dopaminergic neurones are intact. Other investigations have shown that fenfluramine has an influence both on caloric ingestion, accelerating the sensation of satiety and a preferential consumption of proteins, and on energy metabolism. Fenfluramine, therefore, presents valuable properties for the treatment of obesity and diabetes, although it is not possible as yet to attribute a predominant role to one or the other of its pharmacological actions. Résumé Quoique de structure apparentée à celle de l'amphéfamine, la fenfluramine diffère de celle-cidefaçon tout à fait nette, à la fois pharmacologiquement et cliniquement et ce fut le premier produit chez lequel ont a montré” que l'activité anorexigène était dissociée d'un effet stimulant central. Sontpassées en revue les études qui indiquent que l'activité de suppression de l'appétit de la fenfluramine met enjeu, au moins enpartie, le système sirotoninergique central et cela distingue le produit de tous les autres anorexigènes tels que l'amphétamine, laquelle ne peut agir que si les neurones noradrénergiques et peut-étre dopaminergiques sont intacts. D'autres recherches ont montré que la fenfluramine exerce une influence à la fois sur l'ingestion de calories, accélérant la sensation de satédté et augmentant la consommation préferentielle de protéines, et sur le mitabolisme energitique. La fenfluramine présente done des propréties utilisables pour les traitements de l'obésité et du diabète, quoiqu'il ne soit pas possible, jusqu'à présent, d'attribuer un rôle predominant à l'une ou l'autre de ces activités pharma-cologiques.