Abstract
Certain cryptic, palatable moths in the families Noctuidae, Notodontidae, Pyralidae, and Sphingidae exhibited responses of apparently protective value 78–100% of the time when touched on the dorsal wing surface. No interaction between the shape of the tactile stimulus and the elicited responses was found. Frequency of response to ventral wing touch was less than 40% with the 2 noctuid species tested in this manner.Aposematic, distasteful moths in the families Arctiidae, Ctenuchidae, Yponomeutidae, exhibited behaviors of potentially defensive value 10–52% of the time when touched on the dorsal wing surface. The unpalatable moths had higher thresholds for release of protective behavior.Members of both groups exhibited angled flights, straight flights, dropping with catalepsis (i.e. “playing‐dead”), and no visible response, but with the frequencies of these responses significantly different. Only certain unpalatable species produced a display without flight or dropping after the tactile stimulus. Flight durations and types were very variable. The mode of the flight durations elicited in palatable moths was 0.8 sec but 0 sec in unpalatable moths.Then the palatability of each moth species was determined using local wild‐caught and hand‐reared birds. Common grackles (Quiscalus quiscula (L.)) seemed more likely to accept moths unpalatable to other birds.There may be broad correlations between taxonomic groupings and the total defensive ensemble present in a moth. However, convergent strategies between phylogenetically unrelated moth species were observed.RÉSUMÉ: Comparaison des comportements défensifs de quelques papillons; implications sur les interactions proie‐prédateurCertains papillons cachés et appétissants, des familles Noctuidae, Notodontidae, Pyralidae et Sphingidae, présentent à 78–100% des réactions, apparemment de valeur protectrice, quand la surface dorsale de leurs ailes antérieures a été touchée. Je n'ai pu trouver de corrélation entre la force du stimulus tactile et la réponse induite. La fréquence de la réponse à un contact avec la face ventrale de leurs ailes postérieures a été inférieure à 40% chez les deux espèces de Noctuelles testées de cette façon. Des papillons aposématiques et rebutants des familles Arctiidae, Ctenuchidae, Yponomeutidae, ont présenté des comportement potentiellement protecteurs dans 10 à 52% des cas quand la surface dorsale de leurs ailes antérieures a été touchée. Dans ces essais, les seuils inducteurs d'un comportement protecteur étaient plus élevés chez les espèces rebutantes.Les membres des 2 groupes ont présenté des vols angulaires, des vols directs, des chutes avec catalepsie, et des réponses indiscernables mais avec des fréquences significativement différentes entre les 2 groupes. Seules quelques espèces rebutantes ont présenté une réaction sans vol ni chute après le stimulus tactile. Les durées et les formes des vols étaient extrěmement variables. Les modes des durées des vols induits étaient de 0,8 sec chez tes papillons appétissants contre 0 sec chez les rebutants.Une fois notées les réponses comportementales induites après les stimulus, l'appétence de chaque espèce de papillon a été déterminée en utilisant des oiseaux capturés localement et élevés. Quiscalus quiscula (L.) est apparu le plus capable d'accepter des papillons considérés comme rebutants par les autres oiseaux.Il peut y avoir des corrélations générales entre la position taxonomique et l'ensemble du système défensif d'un papillon. Cependant, j'ai observé des stratégies convergentes entre des espèces sans relations phylogénétiques.