Abstract
On rappelle d'abord comment l'énergie totale d'un métal peut s'interpréter comme une somme d'énergies d'interactions de paires entre ions. Cette interaction est ensuite explicitement calculée dans sept métaux normaux à l'aide d'un pseudo-potentiel dont on indique les propriétés principales. Diverses comparaisons avec l'expérience, en particulier l'étude de la stabilité relative des phases cristallines et le calcul du spectre de phonons des métaux alcalins, montrent qu'en fait cette technique reste limitée aux métaux légers