Abstract
La sensibilité d'une méthode de mesure photoélectrique est généralement plus grande que celle des méthodes visuelles classiques, pour la détermination de très faibles biréfringences ou de très petites rotations de la direction d'une vibration lumineuse. Les méthodes de détection linéaire (courant photoélectrique proportionnel à l'intensité du phénomène étudié) sont plus sensibles que les méthodes de détection quadratique. Les facteurs expérimentaux qui conditionnent l'obtention de grandes sensibilités sont énumérés et les différentes applications possibles passées en revue. L'ordre de grandeur des plus petits phénomènes que l'on puisse espérer déceler est déterminé

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