Abstract
Summary: The effects of fire and browsing on woodland regeneration in the Serengeti National Park, Tanzania were assessed from tree growth data in fire‐ and large‐mammal‐exclusion plots set up in formerly wooded, grassland communities. Plots in each site were (i) browsed and burned, (ii) browsed only, or (iii) neither browsed nor burned. During the 3 years of the study, the mean heights of all tree species were significantly reduced by browsing but fire had little additional effect. Mean tree heights were maintained at < 31 cm for 3 years in the browsed‐and‐burned and browsed‐only plots while increasing to 49 and 78 cm in the neither‐browsed‐nor‐burned plots. Since elephants and giraffe browse primarily above I m in the Serengeti, small browsers such as Grant's gazelle, Thomson's gazelle, dikdik and impala are thought to be responsible for the slow growth rates in the browsed plots.Résumé: Les effets du feu et du broutage sur la régénération des zones boisées au Parc National du Serengeti (Tanzanie) furent évaluées à partir des données de croissance dans des quadrats‐échantillon en savane anciennement boisée où le feu et les grands mammiféres étaient exclus. Dans chaque site, les échantillons furent (i) broutés et brûlés, (ii) seulement broutés, ou (iii) ni broutés ni brûlés. Durant les 3 ans de l'étude, les hauteurs moyennes de toutes les espèces d'arbres furent significativement réduites par le broutage mais le feu eut peu d'effet supplémentaire. Les hauteurs moyennes des arbres furent maintenues à moins de 31 cm dans les quadrats broutés‐et‐brûlés et broutés‐seulement, alors qu'elle augmente à 49 et 78 cm dans les quadrats ni‐brûlés‐ni‐broutés. Puisque les éléphants et les girafes broutent avant tout au‐dessus d'l m au Serengeti, les brouteurs plus petits tels que les gazelles de Grant et de Thomson, le dikdik et l'impala doivent être les responsables de cette croissance lente dans les quadrats broutés.