Abstract
Hypothesizes that cloze easiness (the percent of subjects filling in the correct word in a cloze task) is a measure of information as defined by Shannon and Weaver (1949). A theory is developed that information is a function of 2 variables: a) the number of lexical markers associated with the word, and b) the number of lexical markers supplied for the word through what Weinrich (1966) calls transfer features. The theory states that frequent words are low information words because they have few lexical markers. Rare words are high information words because they have many lexical markers; however, the literature of automated indexing (e.g., Carroll and Roeloffs, 1966) shows that rare words that are repeated in a text are closely associated with the topic of the text. It follows that rare words that are repeated in a text are low information words by virtue of extraordinary transfer feature support. The theory is shown to be consistent with a reanalysis of Bormuth (1966) data resulting from administering cloze tests to 675 elementary school subjects over 20 passages at 4 levels of difficulty. The theory is examined in light of 3 current models of reading. It is argued that the theory was consistent with some aspects of the models, that the theory may be more parsimonious than some aspects of the models, and that the theory suggests researchable questions which may refine, modify, or refute some aspects of the models./// [French] On assume que la facilité à compléter un test de Cloze est une information ainsi que l'ont définie Shannon et Weaver (1969) (indice que tire le lecteur d'un mot pour découvrir son sens). On a développé une théorie qui postule que l'information est fonction de deux variantes: a) le nombre d'indices lexicaux (ce que les lettres et d'autres attributs indiquent au sujet des mots qu'ils forment) associés avec le mot, et b) le nombre d'indices lexicaux fournis pour le mot d'après ce que Weinrich (1966) nomme particularité de transfert. Cette théorie affirme que les mots qui ont une haute fréquence dans un texte ne donnent pas d'indications au lecteur car ces mots possèdent peu d'indices lexicaux. D'autre part les mots dont la fréquence est plus rare sont des mots à haute information parce qu'ils contiennent de nombreux indices lexicaux. Cependant d'après la recherche qui s'occupe du répertoire automatisé (études qui emploient un ordinateur afin de découvrir la fréquence moyenne d'un mot dans une langue) (e.g., Carroll et Roeloffs, 1966), les mots qui paraissent rarement dans un texte sont associés à son contenu. Il s'ensuit que plus la fréquence d'un mot est grande, moins le lecteur en assimile son sens. Cette théorie est compatible avec les données qui proviennent de l'administration de tests de Cloze à 675 élèves du niveau élémentaire sur 20 passages de lecture et à 4 niveaux de difficulté. Cette théorie enfin est examinée d'après 3 modèles de lecture. On remarque qu'elle est en accord avec certains aspects des modèles en question et qu'elle suggère la possibilité d'approfondir certaines questions qui à leur tour pourraient raffiner, modifier ou réfuter des aspects de ces modèles./// [Spanish] Plantea la hipotesis de que el grado de facilidad de tareas tipo cloze (el porcentaje de sujetos que indican la palabra correcta en una tarea tipo cloze) es una medida de la información, según la definen Shannon y Weaver (1949). Desarrolla la teoría de que la información es una función de dos variables: a) el número de indicadores lixicográficos asociados a una palabra, y b) el número de indicadores lexicográficos provistos para una palabra a través de lo que Weinrich (1966) llama características expresivas de una palabra. La teoría expresa que las palabras de uso frecuente proveen poca información porque poseen escazos indicadores lexicográficos. Las palabras de uso poco frecuente proveen mucha informaciún pues tienen muchos indicadores lexicográficos; no obstante, la literatura que versa sobre la aplicaciún de computadores para contar las veces que usa una palabra (por ejemplo Carroll y Roeloffs, 1966) indica que las palabras de uso poco frecuente que aparecen repetidamente en un texto mantienen una estrecha relación con el tópico del texto. Consecuentemente, se deduce que las palabras infrecuentes repetidas en un texto pasan a ser de escaza información en virtud del inusitado impulso de las características expresivas de la palabra. Se demuestra que la teoría es consistente con una modificación de los resultados de Boymuth (1966) al someter a 675 sujetos de la escuela primaria a pruebas tipo cloze en 20 trozos de grado 4 de dificultad. Se estudia la teoría en base a 3 modelos de lectura actuales. Concluye que la teoría es consistente con algunos aspectos de los modelos, y que además esta teoría sugiere temas de investigación que permitirían refinar, modificar o refutar algunos aspectos de los modelos.

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