A comparison of the effects of two monophasic low dose oral contraceptives on the inhibition of ovulation

Abstract
Fifty-three women were randomly allocated to one of two combined low-dose monophasic oral contraceptives (20 μg ethinyl estradiol with 75 μg gestodene or 20 μg ethinyl estradiol with 150 μg desogestrel). The ability of these formulations to inhibit ovulation was compared using hormonal parameters and ovarian ultrasound. The effects on three treated cycles were compared with pre-and post-treatment cycles. No ovulations occurred in either group during therapy. Twenty-one percent of women were observed to show some follicle-like structures accompanied by raised serum estradiol in at least one treatment cycle. No significant differences between the two preparations were demonstrated on residual ovarian function. The secretion of estradiol and progesterone was significantly reduced throughout all three treatment cycles. Mean LH and FSH concentrations were comparable with both treatments. A secondary analysis of cycle control and tolerance was undertaken. Significantly less bleeding was seen in the gestodene group during cycle 2 (p=0.02). There were no differences between the two treatments with respect to the other cycle control parameters. Approximately half the women recorded intracyclic bleeding during the first treatment cycle. This improved during cycles 2 and 3. Both formulations were tolerated well. On a attribué au hasard à cinquante-trois femmes l'un ou l'autre de deux contraceptifs oraux monophasiques combinés à faible dosage (20 μg d'éthynil oestradiol et 75 μg de gestodène, ou 20 μg d'éthynil oestradiol et 150 μg de désogestrel). On a comparé la capacité qu'ont ces formules à inhiber l'ovulation, en tenant compte de paramètres hormonaux et de l'échographie ovarienne. Les effts sur trois cycles de traitement ont été comparés aux cycles qui précédaient et qui suivaient la traitement. Aucune ovulation ne s'est produite chez aucun des groupes pendant la période de traitement. On a observé chez 21% des femmes des éléments ressemblant à des follicules, accompagnés d'un élévation de l'oestradiol sérique au cours, au moins, d'un cycle de traitement. La fonction ovarienne résiduelle n'a pas révélé de différence significative entre les deux préparations. La sécrétion d'oestradiol et de progestérone a présenté une diminution significative pendant toute la durée des trois cycles de traitement. Les concentrations moyennes d'hormone lunéinisante et d'hormone folliculostimulante étaient semblables pour les deux préparations. On a effectué une analyse secondaire des stimuli et de la tolérance au cours des cycles et on a observé une diminution significative des microrragies dans le groupe du gestodène au cours de deuxième cycle (p=0,02). Aucune différence n'a été constatée entre les deux traitements au niveau des autres paramètres de stimulation du cycle. Des microrragies intracycliques se sont produites chez la moitié environ des femmes durant le premier cycle de traitement, mais cette réaction s'est atténuée au cours des deuxième et troisième cycles. Les deux formules ont été bien tolérées. Cincuenta y tres mujeres fueron asignadas aleatoriamente a uno de dos anticonceptivos orales monofásicos combinados de dosis baja (20 μg de etinil estradiol y 75 μg de gestodén, o 20 μg de etinil estradiol y 150 μg de desogestrel). Se comparó la capacidad que tienen estas formulaciones de inhibir la ovulación, teniendo en cuenta parámetros hormonales y la ecografía ovárica. Se compararon los efectos sobre tres ciclos de tratamiento con los ciclos anteriores y posteriores al tratamiento. No hubo ovulación en ningún grupo durante el período de tratamiento. En el 21% de las mujeres se observaron elementos parecidos a folículos, acompañados de un nivel más alto de estradiol sérico al menos en un ciclo de tratamiento. La función ovárica residual no indicó diferencias significativas entre las dos formulaciones. La secreción de estradiol y de progesterona presentó una disminución significativa durante los tres ciclos de tratamiento. Las concentraciones medias de la hormona luteinizante y de la hormona foliculoestimulante eran similares en las dos formulaciones. Se efectuó un análisis secundario del control y de la tolerancia en el curso de los ciclos y se observó una disminución significativa de las microrragias en el grupo del gestodén en el segundo ciclo (p=0,02). No se verificó ninguna diferencia entre los dos tratamientos a nivel de los otros parámetros de control del ciclo. Aproximadamente la mitad de las mujeres tuvieron microrragias intracíclicas durante el primer ciclo de tratamiento pero esta reacción se atenuó en el segundo y tercer ciclo. Las dos formulaciones fueron bien toleradas.