Abstract
Les pertes par hystérésis oscillante, définies par L. Néel [1], sont relatives à un échantillon placé dans un champ magnétique de grandeur constante, oscillant angulairement entre deux directions fixes faisant entre elles un angle Ψ. On a étudié ces pertes en fonction de Ψ, sur des couches minces à anisotropie uniaxiale et sur des couches minces multiples présentant un couplage ferro-antiferromagnétique. Dans ce dernier cas, on interprète les résultats au moyen du modèle de L. Néel de régions antiferromagnétiques dont les orientations des directions faciles sont distribuées d'une manière isotrope dans le plan de la couche [1]

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