Abstract
On établit les formules donnant respectivement les intensités des lumières : réfléchie, transmise et absorbée, par une couche mince métallique, à partir des conditions aux limites généralisées de Drude. On montre que seule la conception énergétique des amplitudes complexes, de Stokes, conduit à un résultat correct, car elle satisfait le bilan énergétique correspondant. L'établissement de ces formules par la méthode de Murmann n'est pas correcte de ce point de vue

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