Abstract
Longtemps on a cru que le travail de la femme mariée était lié au bas niveau de fertilité des mâles actifs dans certains emplois. En utilisant des dénombrements il est possible d'examiner l'attitude des couples pour ce qui regarde la fertilité, à l'aide d'un bon nombre de combinaisons des divers emplois. Cet article nous apprend que l'on trouve un lien entre le travail féminin et une basse fertilité à Keighley, dans le West Yorkshire, mais cette relation n'est pas si simple que cela. Des données chiffrées, utilisées en transversales ou en verticales, démontrent que le travail des femmes, leur fertilité, ainsi que la participation de leurs maris au marché de l'emploi entrent tous trois en interaction, qui s'équilibre plutôt par chance que par raisonnement.

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