Abstract
Les opérations traditionnelles sur les organes génitaux féminins, étant été reconnues comme une question importante dans le contexte du mouvement international pour les droits des femmes, provoquent actuellement de nombreux débats. Les anthropologues ont été accusés d'caravoir dissumulé les effets dangereux et estropiants quant au sexe, de l'carexci‐sion et de l'carinfibulation. Ce mémoire examine les antécedents historiques de la position actuelle des anthropologues sur ces questions, s'attachant surtout aux implications raciales des condamnations antérieures qui ont été portées contre les opérations génitales parmi les Africains, les Juifs et les Australiens, et suggére que la théorie anthropolo‐gique contemporaine offre une approche qui est différent et acceptable du point de vue moral, et solide du point de vue scientifique.Traditional operations on the female genitals are currently the subject of considerable debate, having been identified as an important issue in the context of the international movement for women's rights. Anthropologists have been accused of perpetrating a ‘cover‐up’ of the dangerous and sexually disabling effects of clitoridectomy and infibula‐tion. This paper examines the historical background to anthropologists' current position on these issues, with particular attention to the racial overtones of earlier condemnations of genital operations among Africans, Jews, and Australians, and suggests that contemporary anthropological theory may offer an altered focus for discussion that is both morally acceptable and scientifically valid.