Abstract
Après avoir montré l'existence de surstructures d'orientation créées par un recuit dans un alliage Fe-Ni, soumis à des tensions mécaniques, on étudie l'influence de la tension de traitement sur la variation de l'énergie d'aimantation de l'échantillon. On peut, grâce à la théorie de L. Néel, donner une interprétation qualitative satisfaisante des faits expérimentaux

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