Abstract
DANS l’article qu’il consacre à Nicolas Fatio de Duillier, dans son Histoire littéraire de Genève, Jean Senebier écrivait trente ans après la mort de Fatio : ‘Cet homme, illustre à tant de titres, est à peine connu aujourd’hui dans la République des Lettres, ou du moins on ne le voit cité nulle part, ni nommé dans l’histoire des Sciences qu’il a si avantageusement cultivée.’

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