Abstract
Résumé: L'auteur du présent travail attire l'attention sur quelques aspects, semble‐t‐il, négligés, des effets psychiques ultérieurs du café chez l'homme; il insiste sur l'importance pratique qui s'attache à cette connaissance. En principe, on ne peut les considérer comme essentiellement différents de ceux de l'alcool; bien plus, dans certaines conditions, ils partagent avec ce poison la propriété »de supprimer la réflexion et d'affaiblir les facultés de la raison». Ces constatations amènent l'auteur à étudier quelles sont les régions de l'organisme qu'on peut supposer en rapport avec la production de ces effets.

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