Transcutaneous electrostimulation in the management of postoperative pain: initial report

Abstract
A study was undertaken to investigate recent reports concerning the use of transcutaneous electrostimulation (TES) for relief of postoperative pain. Thirty patients undergoing elective herniorrhaphy were subjected to a standard perianaesthetic protocol. The patients were divided into three groups of ten, designated control, sham TES and TES. Postoperative analgesic requirements for each group were compared. The number of intravenous doses of meperidine given to each group in the first three hours after operation was control group 46 doses; sham TES group 38 doses; TES group 10 doses (p< 0.0005). The number of intramuscular doses of meperidine in the 3-24-hour period was control group 21 doses; sham TES 22 doses; TES group 17 doses (no statistical difference between groups). A subjectively beneficial effect of TES was also established. Despite a number of difficulties encountered during this study, primarily concerned with the subjective nature of pain and its assessment, a useful trend which warrants further investigation has been established in the use of transcutaneous electrostimulation (TES) for postoperative analgesia. Cette étude porte sur ľévaluation du soulagement de la douleur post-opératoire par ľélectrostimulation transcutanée (EST). Trente malades opérés pour herniorraphie non urgente ont été soumis à un protocole anesthésique standard et divisés en trois groupes de dix désignés comme groupe contrôle, groupe EST fictif et EST. A la période post-opératoire, les besoins en analgésiques pour chaque groupe ont été comparés entre eux. Le nombre ďinjections de meperidine administrées par la voie veineuse pour chacun des groupes pendant les trois premières heures qui suivaient ľopération a été de 46 pour le groupe contrôle, 38 pour le groupe EST fictif et de 10 pour le groupe EST(p< 0.0005). Le nombre de doses administrées par la voie intra-musculaire pendant la période s’étendant de 3 à 24 heures après ľopération a été de 21 doses pour le groupe-contrôle, 22 pour le groupe EST fictif et de 17 doses pour le groupe EST. Il n’y avait donc pas pas de différence statistique entre chaque groupe. On a aussi établi que la stimulation électrique transcutanée avait un effet subjectif favorable. Malgré les difficultés causées par la nature subjective de la douleur et son évaluation éprouvées durant cette étude, les auteurs croyent que la tendance favorable qu’ils ont démontrée justifie une évaluation plus poussée de la méthode.