La gestion communautaire sert-elle l'intérêt public ?

Abstract
Au Niger, les comités de gestion des pompes villageoises entendaient écarter la chefferie, permettre la transparence et le contrôle de la communauté. Si ces objectifs n’ont été que peu atteints, on observe cependant de nombreuses innovations locales en matière de gestion, aboutissant à une quasi-privatisation de nombreuses pompes. Ainsi, on constate que la conception d’un bien d’usage public peut se combiner avec des formes informelles de gestion éloignées des illusions communautaires.

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