Hepatitis B virus antibody prevalence in anaesthetists

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Abstract
The prevalence of antibodies to hepatitis B virus (anti HBs or anti HBc) was 16.9 per cent in a group of anaesthetists, compared to 3.7 per cent in volunteer blood donors and 5.6 per cent of patients without hepatic infections, Professional risk factors such as treating a hepatitis B patient or working in a hospital laboratory, haemodialysis, an intensive care unit, or in oncology, did not correlate with antibody prevalence. Personal risk factors such as a history of a family member with hepatitis, or of receiving blood transfusion in the past were also not associated. A greater number of anaesthetists with a history of hepatitis in the past had antibodies, than those with no history (p < 0.05). The country of origin may have been a contributing factor to antibody prevalence as highest positivity rates were found in subjects from Asia, Africa and Eastern Europe. One of 31 (3.2 per cent) seronegative subjects seroconverted over a four-year period. Results of testing in 1978 and 1982 revealed that 37 per cent of immune subjects possessed only anti HBc and at least one person positive for both markers on the first occasion was only anti HBc positive later. Laboratory testing, risk factors, and immunization for HBV should be examined in greater detail in larger populations of health care workers. On a détecté des anticorps au virus de l’hépatite B (anti HBs ou anti HBc) chez 16.9 pour cent d’un groupe d’anesthésistes comparés à 3.7 pour cent chez des donneurs de sang volontaires et 5.6 pour cent chez des patients sans signe d’infection hepatique. On n’a pas trouvé de corrélation entre la prévalence des anlicorps et les facteurs de risques d’ordre professionnei tels que le fait d’avoir à trailer un patient porteur d’ hépatite B ou de travailler dans un laboratoire d’hôpital, en hémodialyse, en unité de soins intensifs ou en oncologie. De même, des facteurs de risques plus personnels tels qu’un cas a’hépatite chez un proche de la famille ou le fait d’avoir reçu une transfusion dans le passé ne présentaient pas de corrélation. Les anesthésiologistes qui avaient une histoire d’hépatite dans leur passé étaient plus nombreux à avoir des anticorps que ceux sans histoire d’hépatite (p < 0.05). Le pays d’origine semble devoir être un facteur contributoire important à I’égard de la prévalence de l’anticorps. En ejfet, les taux les plus élevés ont été trouvés chez des sujets originanl de l’Asie, de l’Afrique et de l’Europe de l’est. L’analyse des résultais du dépistage de 1978 a 1982 a révélé ce qui suit: Un seul des 31 sujets classés négatifs en 78 était dépisté comme positif après quatre ans (3.2 pour cent). Trente-sept pour cent des sujets classés immunisés possédaient seulement l’anticorps anti HBc et au moins une personne d’abord identifiée comme possédant les deux types d’anticorps en 78 ne possédait plus que l’anti HBc en 82. Les etudes sérologiques, les analyses de facteurs de risques et des programmes d’immunisation s’imposent et devraient être étendus à de targes secteurs des travailleurs de la santé.