Abstract
Dans un travail paru aux Helvetica Physica Acta, M. Eichenberger attribue à une simple action chimique et à des résidus de polarisation diélectrique les particularités présentées par des isolants convenablement préparés et que l'on a signalées ici sous le nom d'effets radioactifs de second ordre. Après avoir fait recommencer les expériences incriminées, l'auteur répond aux critiques qui lui ont été faites : il maintient ses conclusions quant à l'existence d'une ionisation par les isolants électrisés et montre que l'explication « chimique» donnée par M. Eichenberger pour les actions sur la plaque sensible n'est au fond qu'une hypothèse possible qui ne peut d'ailleurs être soutenue que si on la complète par autant d'hypothèses particulières qu'il y a de cas examinés

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