Abstract
On soumit, à une évaluation sensible, sure et efficace, afin de déceler un comportement émotionnel psychotique, cent-quatre résidents britanniques en psychiatrie en regard à un groupe contrôle de quarante-six résidents dans d'autres disciplines médicales. On procéda à cette même évaluation pour cent-quinze résidents canadiens en psychiatrie et également pour quatre-vingt-quatorze résidents dans d'autres spécialités. 22% des résidents britanniques en psychiatrie se placèrent dans la catégorie de cas probable de comportement émotionnel non-psychotique en comparaison avec 3% pour le groupe contrôle. On observa chez les résidents britanniques en psychiatrie des symptômes révélateurs très différents du groupe contrôle. Alors que 12% des résidents canadiens en psychiatrie laissent percevoir des comportements émotionnels non-psychotiques en comparaison avec 14% du groupe contrôle et ces symptômes ne présentent pas une différence très importante. Les implications de ces découvertes chez les résidents en psychiatr...

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