Abstract
On décrit les dispositifs qui ont rendu automatique l'enregistrement des interférogrammes par le spectrométre de Fourier 3e génération, ainsi que les modifications qui permettent à l'appareil de fonctionner désormais sous vide. Celui-ci a, dans ces conditions, fourni des spectres moléculaires à très haute résolution (CH4, H2O, N2O, CH3Br) qu'on compare à des spectres enregistrés par des spectromètres à rèseau. Pour rendre compte de la précision des résultats, on étudie la branche Q de la bande 1111-0000 de N2O.