Abstract
La caractérisation de matériaux diélectriques par spectroscopie en domaine temporel requiert l'utilisation et l'analyse par transformation de Fourier de signaux en forme d'échelon. Les techniques de transformation de Fourier discrète, utilisées à cet effet, ne s'appliquent efficacement qu'à des signaux présentant des niveaux initial et final identiques. Elles engendrent donc dans le cas de signaux en échelon, des erreurs dont la plus évidente est due à leur troncature. Diverses méthodes ont été proposées pour pallier cet inconvénient majeur. Nous comparons ici trois de ces méthodes et montrons mathématiquement et expérimentalement qu'elles ne sont différentes qu'en apparence

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