Abstract
Nous décrivons une méthode de mesure du coefficient de Hall adaptée aux liquides métalliques ou semiconducteurs. Le courant et l'induction sont à des fréquences différentes et la tension de Hall est mesurée aux fréquences somme ou différence. Après avoir vérifié la validité de la méthode sur des corps dont le coefficient de Hall est connu, nous l'avons appliqué avec succès sur le tellure liquide entre la région de surfusion et 750 °C