Zum Problem der Gewöhnung an Schallreize während des Schlafes

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Abstract
In den bisher veröffentlichten Arbeiten konnte eine Gewöhnung, d. h. eine Reaktionsabnahme im Verlauf einer Versuchsreihe statistisch nicht gesichert werden, obwohl in den meisten Arbeiten gegen Ende der Versuche eine geringere prozentuale Reaktionshäufigkeit gefunden wurde. Die Ursache der fehlenden Signifikanz scheint darin zu liegen, dass Signifikanzteste bei der geringen Anzahl der Einzelversuche versagen. Werden die in der Literatur veröffentlichten Werte zusammengefasst, so lässt sich im Verlauf der Versuchsserien eine signifikant häufigere Reaktionsabnahme berechnen. Aus den vorliegenden Daten wurde eine Gewöhnungsfunktion, d. h. die prozentuale Häufigkeit der 0-Reaktionen (alle Reaktionen um weniger als eine Schlafstufenänderung) und der Aufwachreaktionen in Abhängigkeit von der Versuchsnacht berechnet. Die Gewöhnungskurven verlaufen zunächst steil und werden immer flacher. Die noch zu erwartende Reaktionsabnahme wird im Laufe der Zeit also geringer und erreicht einen Nullpunkt etwa in der 9. Versuchsnacht. Ein weiterer Abfall, wie er in der Kurve angedeutet ist, kann jedoch in Anbetracht der wenigen Ausgangsdaten nicht als gesichert gelten. Die als Gewöhnung an Schallreize während des Schlafes zu interpretierende Funktion wird mit der Abnahme des Informationsgehaltes der Schallreize erklärt. Dans les publications qui ont été jusqu'à présent, on n'a pas pu assurer statistiquement une habitude au bruit, Ça veut dire un affaiblissement de la réaction au cours d'une série d'expériences, même que dans la plupart des publications une diminution du pourcentage de réactions fut trouvée à la fin des expériences. Comme raison de ce désaccord peut être admis l'insuffisance des testes de signifiquance quand il s'agit d'un petit nombre d'expériences individuelles. Faisant la somme des résultats publiés, un affaiblissement significatif au sens statistique de la réaction au bruit au cours des séries d'expériences peut être constaté. Sur la base des résultats présentés, une fonction de l'habitude au bruit a été calculée, démontrant une augmentation des réactions «zéro» (ce sont toutes les réactions avec un changement moins qu'un stade de sommeil) et une diminution des réactions de réveil causée par des stimulations acoustiques. Les courbes de l'habitude au bruit, étant raides au début, deviennent de plus en plus plates. En d'autres termes la diminution de réaction s'amoindrit au cours du temps et atteint le point zéro dans la 9 ième nuit d'expériences. Une diminution continuante, comme c'est indiqué dans la courbe, ne peut pas être assurée eu égard aux dates originaires. Cette fonction étant illustration de l'habitude aux stimulations acoustiques peut être interprétée par le décroissement du contenu d'information des stimulations acoustiques. Within experimental series carried out till now habituation to noise during sleep was, as a rule, statistically insignificant, though most of the papers are reporting a decrease of awakening-reaction during the experiment. This discrepancy rises from the small number of experimental trials, so that statistical test fail. Summarizing the published data the decrease of reaction during test series is significant. Based on these data a function of habituation has been calculated demonstrating an increase of 0-reactions (all reactions less than a change of one sleep stage) and a decrease of awakening-reactions caused by acoustical stimuli. The ascent of the curve of habituation becomes flatter and is about 0 within the 9th test night. As indicated by the calculated curve, it seems that a second process of habituation takes place but this further decrease of reactions could not be proven. The increase of 0-reactions as well as the decrease of awakening reactions is dependent on the content of information of the acoustical stimuli which decreases with the number of stimuli.