Les titanates de baryum dopés ont-ils des propriétés semiconductrices ?

Abstract
On montre qu'un modèle à 2 niveaux d'impuretés, dans le titanate de baryum dopé au fer, au cobalt ou au cuivre, considéré comme un semi-conducteur à large bande interdite, permet d'expliquer qualitativement les courants et les photocourants observés. Les valeurs numériques des paramètres ne semblent pas être satisfaisantes