Social Class Segregation within Ethnic Groups in Toronto*

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Abstract
La structure de classe a l'interieur des groupes ethniques n'a pas fait l'objet d'etudes particulieres dans les recherches ecologiques. Etant donne que pour les donnees du Recensement de 1961, nous disposons de renseignements speciaux, il nous a ete possible d'etudier les modeles de meme que les niveaux de la segregation residentielle en se basant sur les differences dans l'occupation et le revenu de groupes de Toronto choisis en fonction de leur langue maternelle et de leur milieu de naissance. On a decouvert que la segregation de classe chez les groupes ethniques est aussi prononcee qu'elle Test dans les communautes de noirs des villes americaines. Le niveau du revenu a tendance a separer les residents d'une maniere plus determinante encore que le niveau professionnel. Les patrons de segregation, a l'interieur de chacune des communautes, s'inserent d'une maniere coherente dans un modele concentrique (pour evaluer la distance du centre de la ville).Social class segregation within ethnic groups has been neglected in ecological research. With the availability of 1961 special‐run census data, it was possible to analyse the extent and pattern of residential segregation based on occupation and income differences for selected mother‐tongue and birthplace groups in Toronto. It was found that social class segregation within ethnic groups is as high as that found within Negro communities of American cities. Income tends to sort out residents to a greater degree than does occupation and the pattern of segregation within each community is consistent with the distance (concentric) model.

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