Abstract
Malgré le petit échantillonnage présenté, à titre d'essai, on suggère les conclusions suivantes, avec des données supplémentaires qui seraient sujettes à une vérification.Si les femmes médecins sont moins bien armées que les hommes médecins pour être en mesure de pouvoir tolérer les lourds stress physiques et émotionnels, liés à la pratique de la médecine, il est possible de présumer que ces femmes médecins deviendraient plus fréquemment des patients dans les hôpitaux psychiatriques que leurs confrères masculins.Dans cette étude, les femmes médecins étaient en très petit nombre parmi les médecins hospitalisés.81.5 pour cent de femmes médecins en Ontario pratiquent activement la médecine. Seulement trois de nos patients exerçaient leur profession lors de leur admission, et seulement installées dans leur carrière médicale.Il n'y a pas lieu de soutenir le thême que le stress de combiner une pratique active de la médecine au rôle de mère de famille est un facteur significatif dans l'étiologie psychiatrique de...

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