Abstract
L'auteur montre que les résultats sur la biréfringence des cristaux uniaxes et les biréfringences électrique et magnétique des liquides (effets Kerr et Cotton-Mouton) peuvent fournir des renseignements précis sur la question encore contestée de la dispersion de l'anisotropie optique moléculaire avec la longueur d'onde. Ils permettent d'établir en effet que cette dispersion est très sensiblement égale à celle de la réfraction. Par là se trouvent expliqués les importants « décalages » observés entre longueurs d'onde réduites de réfractivité et de biréfringence