Anaesthetic experience with paediatric interventional cardiology

Abstract
Anaesthetic and sedation techniques, complications and outcomes were reviewed in 176 children undergoing 184 interventional cardiologic procedures. Techniques included sedation only, and ketamine, inhalational or narcotic anaesthesia. Ketamine infusion was the technique most frequently used. Ketamine was associated with a higher incidence of respiratory complications (P < 0.05) than the other techniques. The higher incidence of hypercarbia (15.6 per cent), which did not affect outcome, may be attributable to the use of supplemental sedatives. The incidence of upper airway obstruction (7.8 per cent) was similar to that of previous studies. Vascular compromise resulted from the procedure in 33 patients, necessitating surgical correction in 16. Cardiac perforation occurred in four cases, causing one death. Pulmonary valve stenosis was most amenable to balloon dilatation and aortic valve stenosis least amenable. Ketamine was the anaesthetic agent preferred by cardiologists for use in the catheterisation suite when general anaesthesia was required. Vigilant monitoring by anaesthetic staff is necessary during the procedure, and avoidance of concomitant narcotics is recommended if a ketamine technique with spontaneous ventilation is used. Les techniques anesthésiques et de sédation ainsi que les complications et les issues ont été revues chez 176 enfants subissant 184 procedures cardiaques. Les techniques ont inctu soil la sédation seulement, soit l’anesthésie à la kétamine, aux agents d’inhalation ou aux narcotiques. La perfusion de kétamine était la technique la plus fréquemment utilisée. La ketamine était associée à une plus grande incidence de complication respiratoire (P < 0.05) comparativement aux autres techniques. La plus grande incidence d’hypercarbie (15.6 pour cent), n’ayant pas affecté l’issue, pourrait être attribuée à l’utilisation additionnelle de sédatifs. L’incidence d’obstruction des voies aériennes supérieures (7.8 pour cent) était similaire aux études préalables. Un problème vasculaire suite à la procédure fut observé chez 33 patients dont 16 ont requis une correction chirurgicale. Une perforation cardiaque est survenue dans quatre cas provoquant le décès d’un seul patient. La sténose de la valve pulmonaire était la procédure la plus susceptible d’être dilatée et la sténose de la valve aortique la moins susceptible. La kétamine était l’agent anesthésique préféré par les cardiologistes lors des cathétérisations quand une anesthésie générate était requise. Une surveillance vigilante par une équipe anesthésique fut nécessaire durant la procedure. Il faut aussi éviter l’administration de narcotiques si la kétamine est administrée en respiration spontanée.