Abstract
Un type, jusqu’ici non décrit de glucose-6-phosphate déshydrogénase, a été mis en évidence chez un sujet hémizygote de sexe masculin d’origine algérienne. Ce type, caractérisé par une diminution importante de l’activité (16% de la normale), ne possède aucune des caractéristiques biochimiques et électrophorétiques de l’enzyme type Gd (-), Méditerranéen. Il ne s’apparente non plus à aucun des variants décrits jusqu’à présent. La famille étant depuis plusieurs générations, originaire de Constantine, ce mutant est désigné par le phénotype Gd (-), Constantine. Une question se pose: faut-il considérer ce type comme un mutant isolé ou, au contraire, comme une variété propre à la race algérienne ?

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