In 1849, when M. Brongniart published his ‘Tableau des genres des Végétaux Fossiles,’ he admitted into his series of Acrogenous Cryptogams a family of Lepidodendra, in which he included Lepidodendron , Ulodendron , Megaphyton , Halonia , Lepidophloios , and Knorria . At the same time he recognized as Gymnospermous Dicotyledons , a family of Sigillariæ, including Sigillaria , Stigmaria , Syringodendron , and Diploxylon . He distinguished these two groups by supposed differences in the structure of the ligneous cylinder surrounding the pith. Speaking of this structure in the Lepidodendroid plants, he says, “Non-seulement il est continu et non divisé en faisceaux par des rayons médullaires, caractére que j’ai indiqué dans plusieurs families trés-diverses des dicotylédonés, mais les éléments qui le composent ne forment pas de rangées rayonnantes. Cette absence de direction radiée dans la disposition relative du tissu ligneux me parait un caractére trés-essentiel, car elle indique la formation simultanée de ce tissu, et non sa formation successive du dedans au dehors, caractére de la zone ligneuse des dicotylédonés”. Describing his family of Sigillariæ, he says, “Le caract·ære essentiel de ces plantes, c’est de présenter, dans l’intérieur de leur tige, un cylindre ligneux entiérement composé de vaisseaux rayés ou réticulés disposés en séries rayonnantes, séparés en général par des rayons médullaires, ou par les faisceaux vasculaires qui, de l’étui médullaire se portent vers les feuilles” He further adds, "Les principaux genres de cette famille, ceux qui appartiennent sans aucun doute à de vraies tiges, présentent, en dedans du cylindre intérieur, sorte d’étui médullaire, continu et sans rayons médullaires dans le Diploxylon , divisé en faisceaux correspondant aux faisceaux principaux du cylindre ligneux dans le Sigillaria ". I have long been engaged upon the study of the plants referred to in the above extracts. I have not only had the opportunity of examining numerous specimens in the cabinets of friends, but in nearly every instance I have literally dissected each specimen described, in my own lathe, so as to avoid, as far as possible, all sources of error. The result is that I am now in a position to demonstrate the complete unity of the plants which M. Brongniart has separated so widely, and to show that the transition from one form to another is so gradual as to necessitate the inclusion of the entire series in the Lepidodendroid family.