Abstract
The effect of intermittent exposure to high altitude (4200 m) hypoxia on symptomatology of acute mountain sickness (AMS) was observed, and the relationship between AMS and stress hormone excretion was examined among shift workers at the United Kingdom Infrared Telescope (UKIRT) facility and a control group of sea level residents. Some of the shift workers experienced AMS during their first day at altitude, but had recovered after 5 days residence at altitude. Upon acute exposure to altitude, none of the shift workers reported severe cases of AMS after 5 days residence at sea level, but some reported severe cases after 45 days residence at sea level, thus providing some evidence for a ‘carry over’ of acclimatization for a 5 day period. Reported symptomatology at sea level was predictive of 24 h. excretion rates of adrenaline and 17-hydroxycorticosteroids at high altitude. No good predictors of symptomatology of AMS at high altitude were found using sea level measures alone. Die Wirkung des vorübergehenden Aufenthalts in groß Höhe (4200 m) auf das Verhältnis zwischen ABK und der Exkretion von Stresshormonen wurde bei Schichtarbeitern des United Kingdom Infrared Telescope (UKIRT) und einer Kontrollgruppe auf Meereshöhe untersucht. Einige der Schichtarbeiter wurden während ihres ersten Tags auf der Höhe bergkrank, erholten sich aber nach fünf Tagen Aufenthalt in der Höhe. Wenn sie akut der Höhe ausgesetzt worden waren, berichtete keiner der Schichtarbeiter ernste Fälle von ABK nach fünf Tagen auf Meereshöhe, einige aber berichteten ernste Beeinträchtigung nach 45 Tagen auf Meereshöhe, was etwas Hinweis gibt für eine Übertragung der Aklimatisation über eine Zeit von fünf Tagen. Die berichtete Sympotomatik auf Meereshöhe war aus den 24-stündigen Exkretionsraten von Adrenalin und 17-Hydroxycorticosteroid in grob01 er Höhe schätzbar. Für die Symptomatik von ABK in groß Höhe fanden sich keine guten Schätzer aus den Meereshöhemaßen allein. On a observé l'effet de l'exposition intermittente à l'hypoxie de haute altitude (4200 m) sur la symptomatologie du mal des montagnes aigu (AMS), ainsi que la relation entre AMS et l'excrétion d'hormones de stress. Ce travail a été exécuté sur des travailleurs présents par périodes en altitude, au Télescope Infrarouge du Royaume-Uni (UKIRT) et sur un groupe de contrôle, formé par des résidents au niveau de la mer. Certains travailleurs éprouvent de l'AMS lors de leur première journée en altitude, mias ils s'en remettent après cinq jours de séjour. Les interruptions de séjour en altitude n'occasionnent pas d'AMS sévère lorsque le séjour au niveau de la mer est de cinq jours, mais certains travailleurs en éprouvent lorsque la durée de l'interruption est de 45 hours. Ceci indiquerait le maintien de l'acclimatisation à l'altitude pendant au moins cinq jours. La symptomatologie observée au niveau de la mer, est prédictive des taux d'excrétion par 24 heures, de l'adrénaline et des 17-hydroxycorticostéroides en haute altitude. Aucun prédicteur satisfaisant de la symptomatologie de l'AMS n'est trouvé au moyen des seules mesures effectuées au niveau de la mer.