Abstract
L’idée que l’hypertrophie bénigne de la prostate puisse être influencée par une modification de Γéquilibre hormonal remonte à la fin du XIXe siècle. De nombreux cas inopérables furent libérés de la sonde par la castration. Dès leur commercialisation, les æstrogènes furent utilises avec succès par de nombreux auteurs, bien que les bases théoriques de ce traitement soient aujourd’hui encore controversées. Les progestatifs semblent très actifs, et leurs effets secondaires bien moindres. Leurs propriétés biologiques et leur mécanisme d’action permettent de les classer en cinq categories. Les preparations administrables par voie buccale sont appelées à connaître un essor certain.

This publication has 0 references indexed in Scilit: